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(Hiver 2009. Photo personnelle)
La liberté c'est ensuite le vide, un vide à désespéremment recenser. Après chers emmurés éminentissimes, c'est la forte odeur de votre dénouement. Comment vous surprendrait-elle?
Faut-il l'aimer ce nu altérant, lustre d'une vérité au coeur sec, au sang convulsif!
Le nu perdu. René Char.