Le soir coule dans l'océan, les étangs dérivent, le silence s'emplit au coeur d'un monde qui nous enchante/
Partition unique, extrême beauté de cette nature qui s'offre le miroitement d'une aile à la surface de l'eau; éclat de vie éternelle, celle qui nous survit, et nous précède.
Je me disais en te regardant, " le feu coule ses regards flous en nous" ou bien " le feu écroule ses laves en nous, ecroule ses boues monumentales, écroule les pans entiers de montagnes perdues, d'ilots engloutis". Drôle! me suis-je encore dis, il reste un volcan en ébullition quelquepart.