Allez vers ceux qui n'ont rien, plus rien que leurs yeux pour pleurer quand ils trouvent encore la force de verser des larmes. Qu'ils soient riches ou pauvres, blancs ou autrechose, pensez à aller vers eux.
Même quand ils ne montrent rien qu'un peu d'ennui teinté de dégoût. Penser que sa peine est loin d'être unique et qu'en partageant un peu de cette chaleur qui nous fait ressembler à autrechose qu'à des animaux assoiffés de pouvoir et de jouissance serait une chose qui ferait de sa vie une vie remplie.
De très beaux "autres".