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crédit photo : moi. Janvier 2010 paris
Sa main froide dans la mienne j'ai couru, espérant nous perdre et y perdre ma chaleur. Riche de nuit, je m'obstinais. Détour qu'empruntent les morts aimés pour de leur coeur faire notre sentiment, vous n'êtes pas consignés. Détours dont on ne dénombre pas la multitude ni les signes.
Le nu perdu. René Char.
(Hiver 2009. Photo personnelle)
La liberté c'est ensuite le vide, un vide à désespéremment recenser. Après chers emmurés éminentissimes, c'est la forte odeur de votre dénouement. Comment vous surprendrait-elle?
Faut-il l'aimer ce nu altérant, lustre d'une vérité au coeur sec, au sang convulsif!
Le nu perdu. René Char.