Assise prés du lit
la jeune fille
regardait le visage
de son aieul.
L'atmosphère était celle d'une des nouvelles de Maupassant.
Les draps blancs avaient perdus leur teinte éclatante, remplacée par celle de la cire.
Il respirait difficilement.
L'oxygène dans la pièce se raréfiait.
Il était allongé dans l'obscurité et le silence.
Elle n'osait pas faire un seul geste de peur de réveiller quelquechose qu'elle pressentait comme étant terrible.
Peut-être le souvenir de la vie.
Elle prit au dernier souffle la volonté de ne pas ressentir de douleur.
Car elle comprenait que l'heure était venue.
Comme ça, sans crier gare, le temps était passé.
Et il partait maintenant.
En se confondant avec la blancheur des draps, s'enfonçant, disparaissant.