photo : moi hiver 2009
Enchemisé dans les violences de sa nuit, le corps de notre vie est pointillé d'une infinité de parcelles lumineuses coûteuses. Ah! quel sérail.
René Char. Le nu perdu.
(Nrf.Poésie.Gallimard.)
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Enchemisé dans les violences de sa nuit, le corps de notre vie est pointillé d'une infinité de parcelles lumineuses coûteuses. Ah! quel sérail.
René Char. Le nu perdu.
(Nrf.Poésie.Gallimard.)