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crédit photo : moi-même. Février 2010. Paris.
S'il te faut repartir, prends appui contre une maison sèche. N'ai point souci de l'arbre grâce auquel, de très loin, tu la reconnaîtras. Ses propres fruits le désaltéreront.
[Levé avant son sens, un mot nous éveille, nous prodigue la clarté du jour, un mot qui n'a pas rêvé.]
Le nu perdu. René Char.
(Hiver 2009. Photo personnelle)
La liberté c'est ensuite le vide, un vide à désespéremment recenser. Après chers emmurés éminentissimes, c'est la forte odeur de votre dénouement. Comment vous surprendrait-elle?
Faut-il l'aimer ce nu altérant, lustre d'une vérité au coeur sec, au sang convulsif!
Le nu perdu. René Char.
(photo: moi. Auteur du dessin inconnu à ce jour.)
Nos orages nous sont essentiels. Dans l'ordre des douleurs la société n'est pas fatalement fautive, malgré ses étroites places, leur écroulement et leur restauration alternés.
On ne peut se mesurer avec l'image qu'autrui se fait de nous, l'analogie bientôt se perdrait.
Le nu perdu. René Char.