Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Impressionnant.def

    Il y a longtemps:

    "Souvent au paradis à la porte gardée par Saint Pierre, des files d'innocents viennent pâles et épuisés plaider leur cause....C'est ce qu'autrefois l'on apprenait au catéchisme...Les innnocents, pauvres sont souvent sommés de plaider leur cause et de justifier de leur existence..."

    Aujourd'hui :

    "Ce qu'il faut faire pour "protéger" les âmes innocentes, de la voracité des loups, c'est impressionnant!"

    Ce soir:

    "J'ai regardé dans une télé, en noir et blanc un reportage qui traitaient encore une fois des survivants de l'holocauste...Des images prises d'un avion qui survole les baraquements d'un immense camp, des kilomètres de baraquements...

    C'est vraiment étonnant les moyens déployés parfois pour les détruire justement ces "innocents"!

    A croire qu'il manque de place sur terre.

    Impressionnant!

     

                             

     

     

  • "Mes désirs des lors ne sont plus qu'un chagrin...


    La mémoire et la mer. Léo Férré.


    La marée, je l'ai dans le cœur
    Qui me remonte comme un signe
    Je meurs de ma petite sœur, de mon enfance et de mon cygne
    Un bateau, ça dépend comment
    On l'arrime au port de justesse
    Il pleure de mon firmament
    Des années lumières et j'en laisse
    Je suis le fantôme jersey
    Celui qui vient les soirs de frime
    Te lancer la brume en baiser
    Et te ramasser dans ses rimes
    Comme le trémail de juillet
    Où luisait le loup solitaire
    Celui que je voyais briller
    Aux doigts du sable de la terre

    Rappelle-toi ce chien de mer
    Que nous libérions sur parole
    Et qui gueule dans le désert
    Des goémons de nécropole
    Je suis sûr que la vie est là
    Avec ses poumons de flanelle
    Quand il pleure de ces temps là
    Le froid tout gris qui nous appelle
    Je me souviens des soirs là-bas
    Et des sprints gagnés sur l'écume
    Cette bave des chevaux ras
    Au raz des rocs qui se consument
    Ö l'ange des plaisirs perdus
    Ö rumeurs d'une autre habitude
    Mes désirs dès lors ne sont plus
    Qu'un chagrin de ma solitude

    Et le diable des soirs conquis
    Avec ses pâleurs de rescousse
    Et le squale des paradis
    Dans le milieu mouillé de mousse
    Reviens fille verte des fjords
    Reviens violon des violonades
    Dans le port fanfarent les cors
    Pour le retour des camarades
    Ö parfum rare des salants
    Dans le poivre feu des gerçures
    Quand j'allais, géométrisant,
    Mon âme au creux de ta blessure
    Dans le désordre de ton cul
    Poissé dans des draps d'aube fine
    Je voyais un vitrail de plus,
    Et toi fille verte, mon spleen

    Les coquillages figurant
    Sous les sunlights cassés liquides
    Jouent de la castagnette tans
    Qu'on dirait l'Espagne livide
    Dieux de granits, ayez pitié
    De leur vocation de parure
    Quand le couteau vient s'immiscer
    Dans leur castagnette figure
    Et je voyais ce qu'on pressent
    Quand on pressent l'entrevoyure
    Entre les persiennes du sang
    Et que les globules figurent
    Une mathématique bleue,
    Sur cette mer jamais étale
    D'où me remonte peu à peu
    Cette mémoire des étoiles

    Cette rumeur qui vient de là
    Sous l'arc copain où je m'aveugle
    Ces mains qui me font du fla-fla
    Ces mains ruminantes qui meuglent
    Cette rumeur me suit longtemps
    Comme un mendiant sous l'anathème
    Comme l'ombre qui perd son temps
    À dessiner mon théorème
    Et sous mon maquillage roux
    S'en vient battre comme une porte
    Cette rumeur qui va debout
    Dans la rue, aux musiques mortes
    C'est fini, la mer, c'est fini
    Sur la plage, le sable bêle
    Comme des moutons d'infini...
    Quand la mer bergère m'appelle




  • What else?

                         

                    ............Pour cueillir en rêvant une rose des vents sur un rayon de lune.....................

  • Le silence des agneaux 2!

    Pour diriger un navire, il faut :

    "connaître sa position par rapport à

    _L'horizon 

    _Babord 

    _Tribord  

    _4 La profondeur 

    _5 La position des autres navires 

    et puis, on vogue tranquillement.
    (J'ai oublié connaître la météo quand même c'est important pour éviter les tempêtes!)

    Quand tout ses paramètres sont connus on peut commencer à chanter :

    "La preuve !" :

    "Non ce n'était pas le radeau de la méduse ce bateau, qu'on se le dise au fond des ports...N'en déplaise aux jeteurs de sorts...

    ...Son capitaine et ses matelots n'étaient pas des enfants de salauds....mais des amis franco de port....sur le ventre ils se tapaient fort...Jean-Pierre, Paul et compagnie c'était leur seule litanie, leur credo, leur confiteor...

    Lalalalalaalalala!

    C'est elle qui leur montrait le nord!

    Lalalalalalalala!

    Ah oui... le Nord....L'étoile du nord....Coordonnées, donc....Latitude....Longitude....Courbes jointes...Point....Nous sommes ici...Légère trace de crayon...Sans technique, sextant, boussole, euh...

    Ca y est! (ou ayé pour les lectrices assidues de mes bêtises...! :)
    J'ai retrouvé ma position dans l'espace, au sol bien sûr mais aussi par rapport à ce qui existe ou pas! J'ai bien faillit m'endormir pour toujours dans ce rêve qui ne se finissait pas.

    Heureusement, les cauchemards prennent toujours fin!

    Je n'ai pas de navire à diriger. 

    Ouf!

    Nuit. Jour. Tralali. Tralalère.