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Sédiments_Avant-Garde_© - Page 18

  • Note.

    Ce que l'on voit du monde a un sens. Ce que l'on choisit de montrer aussi. Les images de notre monde s'ordonne selon une logique qui est à la fois celle de la réalité et celle de la pensée. Nous pensons quelquechose de ce que nous voyons. Nous en déduisons des pensées. Nos pensées dirigent notre regard. Elles ordonnent notre vision du monde. Mais ce que le monde donne à voir de lui a un sens à la fois induit et visible. Le réel n'est pas uniquement ce qui se montre et se donne à voir facilement. Il est aussi ce qui s'observe et se devine, se cherche et se découvre. En cela l'art photographique est un art de la découverte et de l'expérimentation.

    La facilité ennemi de la vérité. (sens de la vérité, ce qui est réel)

    Faire des photographies dans la rue a un sens précis. Légalement tout le monde peut faire des photographies de rue. Physiquement et moralement c'est un peu plus difficile. Pourquoi? Parce que cela ne produit de sens que pour peu de gens. Cela plait peu. Cela dérange moralement aussi. Le passant peut se sentir épié, agréssé dans son intimité, dans sa liberté de circuler librement justement. Les caméras sont déjà tellement présentes que l'on peut effectivement se plaindre de l'ultra présence de cet oeil qui scrute, observe, épie en servant un pouvoir aux contours mal définis.

    La main d'un photographe se voit. La personne est physiquement présente derrière l'appareil. Peut-être est-ce en cela que le photographe dans la rue est souvent un être qui peut servir de cible à la colère populaire, à sa vindicte et son ras le bol d'avoir constamment sous le nez un objectif. 

    Enfin pourra t-on conclure que c'est la sensation que des caméras nombreuses dans les rues peuvent finir par produire.

    Faire des photos de rue sans déranger est-ce possible? En faisant attention aux autres, en prenant les passants de dos, en bougeant légèrement pour flouter les visages, on peut à peu près parvenir à ne pas "violer" l'intimité des autres. 

    A t-on des ennuis? Pas vraiment. Si les gens se sentent dérangé, qu'ils ont peur ou qu'ils ne veulent pas être sur la photo que vous prenez quand par hasard ils apparaissent de face. Il est possible d'éffacer la photo pour donc ne pas outrepasser l'autorisation qui est donnée à tous et à toutes de faire de la photographie de rue. De toute façon il n'est pas possible de mettre en ligne des photographies d'inconnus trop précises qui pourraient se reconnaître et donc se plaindre de vous.

    La Loi protège et entoure chacun d'un filet d'obligation et de devoirs qui permettent normalement à tous de vivre dans le même monde sans s'agresser. Enfin on va dire que c'est l'idéal, la réalité est parfois différente de ce que l'on voudrait qu'elle soit.

    CeQuiN'estFollementplusàdémontrer

     



  • Reprise d'article (in "Rejet effluent et gazeux qu'est-ce que c'est ?")!

    Les eaux de la Manche plus radioactives que
    celles de Fukushima, selon l'Association pour le
    Contrôle de la radioactivité

    Lors d'un prélèvement en octobre 2012, l'Association ACRO a relevé une concentration de tritium anormalement élevée dans l'eau de mer dans la baie d’Ecalgrain, à proximité de l’usine AREVA de La Hague (Manche).

    • LQ
    • Publié le 27/03/2013 | 18:37, mis à jour le 27/03/2013 | 18:55
    Un des membres de l'ACRO dans la Baie d'Ecalgrain © Pierre-Marie Puaud, France 3 Basse-Normandie
    © Pierre-Marie Puaud, France 3 Basse-Normandie Un des membres de l'ACRO dans la Baie d'Ecalgrain

    C'est l'ACRO, "l'Association pour le Contrôle de la Radioactivité de l'Ouest", un laboratoire indépendant d'analyse de la radioactivité, qui a fait cette annonce spectaculaire : Il y a plus de tritium (hydrogène radioactif) dans les eaux de la Manche que dans les eaux du Pacifique à proximité de la centrale de Fukushima. 

    L’ACRO effectue "une surveillance citoyenne" de la radioactivité dans l’environnement depuis de longues années.
    Elle effectue notamment des contrôles réguliers tout le long des côtes de la Manche afin de suivre l’impact des rejets en mer des installations nucléaires.

    L'ACRO se base sur un prélèvement d'eau de mer effectué le 17 octobre 2012 dans la Baie d'Ecalgrain. 
    Une concentration record de tritium (isotope radioactif de l'hydrogène, qui est rejeté par les installations nucléaires) a été relevée : 110 Bq/L (becquerels par litre). Une concentration cinq fois supérieure à ce qui est relevé habituellement à cet endroit. 
    A titre de comparaison, à proximité de la centrale de Fukushima, on relève aujourd'hui des concentrations en tritium allant de 3 à 13 Bq/L. 

    La suite ici

  • Autour d'une péniche parisienne

     

     
     
     
     
     
     
     
     
      
     
              
        
     
     
             
                    
     
     

     

     

     
    The End.
     
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