Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La vérité, rien que la vérité, jurez vous de dire....

Dear friends 

We are in Fukushima city about 60km away from the Fukushima nuclear plant. 
Our children's physical condition is in danger now
.
We find symptoms such as swollen thyroid, nosebleed, diarrhea, cough, asthma, etc.. 

We, Mothers of the children, understand that this is very serious situation 
and worry about the impact of radiation on the health of our children.


Au pays du soleil levant certains enfants se couchent en respirant des radionucléides, après avoir avalé leur dose de césium 137 sous les encouragements de responsables analphabètes et/ou menteurs. Les parents s'inquiètent durant le mois de mars 2011... des symptômes apparaissent, que faire? Arrêtez de mentir et essayer de faire bouger ces gens? Nul ne sait.

Autre :

 

Nous avons vraiment besoin de démontrer que le nucléaire est sûr (…) nous devons couper l’herbe sous les pieds des antinucléaires qui vont tenter de comparer Fukushima a Tchernobyl, et pour cela il faudra employer des arguments qui pourront discréditer cette tentative de rapprochement (…) il faut absolument dire que les deux explosions qui ont eu lieu ne sont que des rejets contrôlés qu’a fait Tepco pour éviter des problèmes »
 


Les anti-nucléaires seraient-ils le problème?
Ne serait-ce pas plutôt le nucléaire qui est le problème majeur?

En même temps moi je dis ça, je dis rien. D'après Vin vin mon envoyé spécial personnel le silence est le meilleur conseiller en matière de nucléaire. Ca, tout le monde le sait déjà puisque peu nombreux sont ceux qui osent l'ouvrir sur le sujet et très souvent en payant chacun des mots prononcés. Tout comme les syndicalistes sont rarement les mieux placés pour briguer les promotions qui arrivent dans une entreprise les anti-nucléaires ne sont pas toujours remerciés par la société de leur travail d'aide à la manifestation de la vérité comme on dit parfois, voire jamais remerciés.

 

Les japonais prôches de la centrale de Fukushima ont mis quelques mois à comprendre qu'on leur mentait.
Un peu tard pour ceux qui savent lire et connaissent l'impact des radiations sur le corps!

 

Comme quoi l'instruction et la connaissance seront toujours les meilleurs conseillers en matière de survie! [et en matière d'accident nucléaire la fuite parait être la plus efficiente des solutions...]

Savoir. Connaître. Pour pouvoir organiser sa survie. N'oublions pas que : 

"Les radionucléides diffusés par les molécules radioactives cassent des maillons de la chaîne adn, et détruise l'être humain dans ce qu'il a de plus important la reproduction."

 

Les accidents nucléaires polluent et mettent en danger notre santé pour des dizaines de générations.
Il n'est toujours pas possible d'approcher Tchernobyl.
Cela ne le sera pas pendant encore au moins 150 ans.

 

En France nous avons 19 centrales nucléaires en activité, un seul accident important et nous disons adieu à au moins 200 voire 300 kilomètres carré de territoire.
Nous vivons au milieu de bombes à retardement.
L'énergie provenant du nucléaire civile coûte cent fois plus qu'elle ne rapporte.
Les coûts liés au retraitement des déchets et le fonctionnement ultra-sécurisé des centrales ne permet plus au nucléaire civile de générer des bénéfices qui justifient la poursuite de l'utilisation de cette énergie. 

 

Malgré toutes ces données qui sont connues de tous et surtout des responsables, rien n'est fait actuellement pour donner aux énergies renouvelables la place prépondérante qui leur permettrait de remplacer l'énergie nucléaire.

 

En développant de manière intensive (afin de rattraper les trente ans de subventions publiques accordées au nucléaire et celles non- accordées aux énergies renouvelables donc!) les recherches sur les énergies renouvelables de manière à commencer le remplacement du nucléaire, on pourrait peut-être penser que notre pays ne vivra jamais le même drame que constitue une catastrophe nucléaire sur un territoire.

 

Principale danger:

"Une technologie hautement vulnérable au changement climatique

L’ouragan Sandy n’a donc pas débouché sur une catastrophe nucléaire, même si les inondations sont susceptibles de provoquer des dommages à long terme sur les installations. Mais Sandy n’est malheureusement pas un phénomène unique : aux États-Unis, pays habitué aux tornades et ouragans, la fréquence et la puissance de dévastation de ces derniers est susceptible de s’accroître avec le changement climatique. Arnie Gundresen, expert nucléaire américain, souligne d’ailleurs que les compagnies électriques ne sont pas prêtes à dépenser des milliards de dollars pour rendre les vieilles centrales moins vulnérables.

La technologie nucléaire est donc loin de présenter une "solution" au changement climatique : au contraire, ses risques alliés à des phénomènes météorologiques extrêmes débouchent sur un cocktail détonnant et ravageur.

À l’inverse, on remarquera que les énergies renouvelables, qui constituent des solutions fiables au changement climatique, sont très peu affectées par ce genre d’événement. Le passage de Sandy n’a déraciné aucune éolienne, et celles-ci ont continué à produire leur énergie non polluante [5].

En France aussi, nous pourrions être concernés

Dans notre pays, les événements climatiques n’atteignent pas l’ampleur de ceux qui touchent les États-Unis. Mais nos centrales ne sont pas pour autant à l’abri.

On se souviendra que lors de la tempête de décembre 1999, la centrale du Blayais [6], inondée, privée de plusieurs systèmes vitaux pour la sûreté et de la moitié de ses pompes, est passée à deux doigts de la catastrophe. Alain Juppé, maire de Bordeaux, avait même envisagé l’évacuation de sa ville [7].

Les analyses européennes ont montré que nos centrales étaient particulièrement mal prémunies contre le risque d’inondation. Et nombreuses sont celles situées dans des zones à risques ! Pour ne donner que quelques exemples : 
- Le Bugey, près de Lyon, pourrait être submergé si un barrage en amont de l’Ain venait à rompre [8]. 
- Fessenheim, située en contrebas du grand canal d’Alsace, pourrait être menacée en cas de rupture des digues [9]. On ne peut imaginer de travaux de génie civil qui permettraient de rehausser le niveau de la centrale. 
- Et que dire de Gravelines, située sur le littoral des Flandres qui a déjà connu en 1953 une très forte remontée de l’eau dans les terres [10] ?

Aux États-Unis comme en France, n’attendons pas l’accident pour décider enfin de la sortie du nucléaire ! "

 

 

Les commentaires sont fermés.