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  • Calluna.

     

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    Quai des brumes  


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    Encre

     

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    Pivoine ou Laurier rose 

     

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    Pomme acide 

     


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    Zeste amer

  • Des lieux de culte décents!

     

    PARIS (AP) — Une convention d'occupation domaniale de trois ans a été conclue mercredi entre l'Etat et les responsables des mosquées de la rue Myrhra et de la rue Polonceau dans le XVIIIe arrondissement à Paris pour l'occupation d'un nouveau lieu de culte, a annoncé Dalil Boubakeur, recteur de l'Institut musulman de la Grande Mosquée de Paris. 
    Ces nouveaux locaux cultuels, boulevard Ney à Paris, sont destinés à accueillir "le trop plein de leurs fidèles, et ce, dès vendredi", notamment pour la grande prière rituelle hebdomadaire, précise le recteur dans un communiqué. 
    Les discussions menant à l'accord entre les responsables des mosquées et l'Etat (représenté par la préfecture de police de Paris et la préfecture de région) ont été conduites dans "la plus grande sérénité dans un souci consensuel de rapprochement des points de vue", assure Dalil Boubakeur. 
    Se réjouissant "de l'aboutissement de cette solution", il estime qu'elle permettra aux musulmans du XVIIIe arrondissement de Paris de "remplir leurs obligations religieuses dans des conditions de dignité, dans le respect de l'ordre public en évitant les prières dans la rue". AP

    Vous ne me connaissez pas personnellement. Mais je peux vous l'assurer, je ne suis pas Musulman de confession religieuse. Je suis même Catholique. A tendance laïque car comme tous ceux qui me lisent, j'imagine, je suis née dans une république et je pense que c'est une chance. J'aime mon pays je vous l'ai déjà écrit et j'aime l'histoire de ce pays qui l'a conduit à porter des valeurs importantes et uniques dans le monde. J'estime que la France et spécialement les révolutionnaires Français ont inventé un modèle unique de république qui a continué à s'améliorer avec le temps et avec tous les événements qui ont suivi la révolution française. 
    Je ne puis donc pas être comme vous le remarquez soupconnée de trahison ni de mépris ni de quoi que ce soit d'autre de ce genre d'ailleurs à l'égard de mon pays , la France.
    Je ne suis pas non plus très portée sur la vénération des religions d'un point de vue politique. J'estime que la séparation de l'état et de la religion dominante dans un pays est un gage de sécurité pour la pratique d'autres religions et surtout pour la paix religieuse.

    Depuis l'édit de Nantes qui a suivit l'épisode sanglant de la Saint Barthélémy, tout le monde devrait savoir que cette séparation des pouvoirs religieux et politique est le plus sûr gage pour le maintien de la paix religieuse dans un pays. 
    D'autres qui n'ont pas eu cette chance (ex-yougoslavie par exemple) ont pendant des années subit des guerres entre religions et nations.
    Tout ceci pour vous dire à quel point, je me réjouis de cette nouvelle qui on peut le dire intervient après des années de négligence envers cette religion qui depuis le 11/01 a pris une place politique non négligeable dans le monde, ç-a-d que personne ne peut plus ignorer.

    Je m'explique.
    En fait comme tous les citoyens normaux de ce pays qui ont à coeur de faire partie d'une communauté unie par les mêmes valeurs (!) j'ignorais que dans certaines villes de france et spécialement dans celles de banlieue parisienne, aucun lieu de culte correct digne de ce nom et normal n'ait été prévu pour accueillir les fidèles de cette religion. (Je ne parle bien entendu pas des caves où certains pratiquants ont été contraints de prier pendant de nombreuses années).

    Ces musulmans pratiquants qui ne viennent pas d'arriver d'Arabie Saoudite par cargo spécial non, non, sont là depuis au moins vingt, quarante voire soixante ans pour les plus anciens!
    Ont-ils quelquechose à voir de près ou de loin avec la nébuleuse Al Quaïda? (dont moi je doute autant de l'existence que de celle de l'Ile aux enfants dont on m'avait pourtant dit qu'elle existait! Et que j'ai vu à la télé aussi. Bref!)

    Serait-ce des fanatiques?
    (des gros machins tout moches avec une barbe et un couteau de fanatique entre les dents?)
    Des voyous?
    Des gangsters de bas étage?
    (des voleurs de banques, détrousseurs de vieilles femmes veuves et orphelines?)

    Que nenni mon ami, laisses moi te raconter un peu de qui il s'agit :
    _La plupart de ces hommes sont des ouvriers issus des classes populaires travaillant d'arrache-pied depuis de nombreuses années dans notre pays, dans l'anonymat et le respect des lois dont les enfants intégrés exercent des professions "normales" et qui vont comme d'autres vont à la messe, ou à la synagogue (ou au café pour les païens) après avoir payé leurs impôts, sorti la poubelle, embrassé leur femme et arrosé les plantes vertes : prier!
    Oui ils vont juste prier. Activité dangereuse s'il en est, la prière.

    Et alors quoi?
    Que se passe t-il exactement?
    On tolère et cela depuis très longtemps que ces gens qui n'enfreignent pas les lois, qui vivent en bonne entente dans un pays qui les a acueilli et qu'ils respectent n'aient pas la possibilité de se réunir pour prier tranquillement?

    Et on attend quoi? 
    Que les gens du FN toujours intéréssés par faire un esclandre (entends-tu mon ami le bruit des dents qui frottent grrrr grrrr) quand il s'agit de musulmans, magrhébins ou autres provenances jugées non conformes mettent leur nez dans "ce foutoir" car comment appeller ces images ignobles (oui il est ignoble d'avoir si peu de respect humain qu'on laisse des croyants prier dans les rues comme des je-ne-sais-quoi, tout comme il est ignoble de savoir que dans le monde de nombreux chrétiens du simple fait de leur foi sont persécutés car l'absence de respect conduit des petits actes aux grands.) de musulmans à genoux dans le milieu des rues par dizaines tandis que les voisins et habitants de la ville interrogés dans de nombreux reportages télévisés diffusés depuis quelques années se disent scandalisés par le nombre de ces musulmans?
    (Et si ça ce n'est pas de la propagande je ne sais pas ce que le mot propagande signifie en réalité?! °°)

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                                                                                    Musulmans qui prient dans la rue à Paris. | MAXPPP

    Et donc quoi? (On attend que tout le monde menace de prendre sa carte au Front-National pour réagir et trouver une solution?)
    On doit s'éléver avec les habitants de cette ville?
    Se dire scandalisés?
    Contre quoi?
    Contre qui?
    Contre ces gens qui prient dans la rue ou bien contre une situation qu'on a laissé pourrir depuis longtemps?

    Faire ceux qui n'étaient pas au courant que les musulmans dans notre pays et spécialement des classes populaires sont traités avec un grand mépris et aussi peu de considération que l'on accorderait à une horde de sauvages fraîchement débarquée de (1) "zoulouland"
    Et nul n'est besoin de rappeller que parmi ces gens que l'on voit à genoux prier dans les rues de notre république, on doit trouver des anciens combattants!

    Je suis je vous l'ai écrit plus haut de confession religieuse catholique et excusez moi de me sentir choquée et révoltée à l'idée que des croyants quelle que puisse être leur confession religieuse aient dû pendant des années prier dans les rues au vu et au su de tous et spécialement de la classe politique qui nous montre là encore une fois sa grande utilité pour notre pays!!!

    Le respect des croyances des autres c'est tout de même la base mais apparemment dans certains endroits et chez certains la base c'est plutôt du sable mouvant ou du brouillard voire du néant!

    Zoulouland.def :
    Ne me demandez pas où se trouve "zoulouland" : je ne sais pas! Ah si ça doit être du côté de l'Afrique du Sud, mais je ne parle pas de ce zoulouland là, d'abord! Je parle du pays imaginaire que les (2) gens qui n'aiment pas les étrangers à leur pays ont inventé. Attends je vais te décrire un peu à quoi il ressemble ce pays que j'ai appellé ainsi parce que ça me rappellait Slumberland. Donc dans ce pays de sauvages qu'on parvient difficilement à localiser sur la carte IGN de Michelin ni dans le temps d'ailleurs parce qu'à mon avis on doit être à peu près au début du 18ème Siècle au moment de la découverte des pygmés par les explorateurs Européens. Donc dans ce pays, les gens sont sauvages. On les appelle comme ça d'ailleurs : des sauvages! On découvre qu'ils ont des moeurs étonnantes. Certains mangent leurs ennemis pour leur piquer leurs forces, d'autres font des constructions bizarres avec des morceaux de bois et des plumes : les totems! Voilà donc à quoi ressemble un pays de sauvages. Ah mais j'oubliais, d'autres excisent leurs femmes et d'autres se mettent des batons bizarres appellés étuis pelviens dans le sexe. Ouille! Là par contre c'est vraiment le foutoir et personne ne veut vraiment aller vivre dans ce pays qui ne fait pas très envie!
    Même de loin................................et même de très très très loin.........bref!)

    Gens qui n'aiment pas les étrangers à leur pays.def:
    Donc voilà comme promis, chose promise chose due, je reviens gentiment te faire une explication de texte sur la locution précédente. Les gens qui n'aiment pas les étrangers à leur pays ou nationalistes ou encore les jours de grand vent, racistes, xénophobes f...d...hum bon j'arrête, sont des gens qui vivent dans un pays où tout le monde doit se ressembler (ou sinon ça leur fait des problèmes de reconnaissance et d'identités culturelles, qu'ils disent!!) et où de préférence plus les gens sont blancs mieux c'est. Et blanc c'est blanc pas jaune ni orange ni cacao ni vert, ni...bref rien d'autre que du blanc. Un genre de groupe de monomaniaques du blanc, des chemises repassées à cols durs, de robes à pois et à fleurs, d'idées assez arrêtées voire un peu retardées de temps en temps, de brushings au carré, et de montres aux poignets. Bref. Une sorte de secte intolérante, pas très drôle, parfois gentille quand tu es identifié formellement comme étant des leurs sinon assez désagréable si tu possèdes une moitié ou un quart mâtiné de je ne sais quoi qui viendrait d'on ne sait où et qui ne fréquente personne ayant deux moités importées  si ce n'est d'Amérique!
    Juste en dessous.
    Appuie sur le bouton.
    Hop!

     

  • That's remind me of something but what?


    Lyrics
    Its four in the morning, the end of december
    Im writing you now just to see if youre better
    New york is cold, but I like where Im living
    Theres music on clinton street all through the evening.

    I hear that youre building your little house deep in the desert
    Youre living for nothing now, I hope youre keeping some kind of record.

    Yes, and jane came by with a lock of your hair
    She said that you gave it to her
    That night that you planned to go clear
    Did you ever go clear?

    Ah, the last time we saw you you looked so much older
    Your famous blue raincoat was torn at the shoulder
    Youd been to the station to meet every train
    And you came home without lili marlene

    And you treated my woman to a flake of your life
    And when she came back she was nobodys wife.

    Well I see you there with the rose in your teeth
    One more thin gypsy thief
    Well I see janes awake --

    She sends her regards.
    And what can I tell you my brother, my killer
    What can I possibly say?
    I guess that I miss you, I guess I forgive you
    Im glad you stood in my way.

    If you ever come by here, for jane or for me
    Your enemy is sleeping, and his woman is free.

    Yes, and thanks, for the trouble you took from her eyes
    I thought it was there for good so I never tried.

    And jane came by with a lock of your hair
    She said that you gave it to her
    That night that you planned to go clear

    -- sincerely, l. cohen

  • Collage virtuel.

                     

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    Pourquoi j'aime les collages?
    Parce que.
    Et les patchworks?
    Parce que aussi.
    Les scrapbooks?
    Pareil que précédemment.

    En réfléchissant et en lisant le titre de ce blog vous devriez trouver pourquoi.

    Mais pourquoi alors, dans une note précédente, suis-je en train de pester contre un certain esprit que l'on retrouve dans la 
    photographie contemporaine et que personnellement je trouve moche, qui copie vaguement et avec autant de prétention qu'il est possible d'en rassembler des souvenirs de camps (tas de chaussures and co) et pourquoi dans cette note-ci je vous parle de formes d'expression nées durant ces années? 


    Je me contredis?

    Je dis, j'écris n'importe quoi?

    Mais non, lecteur tu me connais depuis au moins dix ans et tu sais par avance que mon mépris ne s'applique qu'à ceux qui le méritent et certainement pas à toi lecteur (et surtout lectrices) qui prend le temps de me lire!

    Donc pourquoi ai-je tant l'air de me contredire en exprimant deux avis qui semblent opposés?

    Collages, scrapbooks, et patchworks ont été créés par les gens qui vivaient cette époque (et qui n'avaient pas d'autres choix car la matière première étant rare il fallait faire avec des morceaux récupéres et rassemblés comme on le pouvait) tandis que ces photographies sont des sortes de jeux intellectuels qui n'ont aucun rapport avec la réalité et qui moi m'évoquent plus une promenade à la morgue plutôt que la mémoire des gens qui ont combattu et vécu ces années. 

    Donc voilà.
    Ca va mieux lecteur? Tu t'y retrouves un peu.

    _Quand aux lectrices les devinant un peu je pense qu'elles avaient compris car je ne suis pas la seule à aimer ces formes d'expressions. Je n'ai rien inventé et en cherchant un peu vous devriez trouver dans le travail de nombreuses femmes la référence à ces formes de création. Ces femmes qui m'ont inspirée et transmise ces jolies formes se sont auparavant inspirées du travail des précédentes_et je ne fais que transmettre à mon tour...

    Voilà c'est tout pour la note sur les formes d'expression féminines, leur transmission et leur survivance à travers les époques et les modes. 

    Un autre jour je vous ferai une note sur le sujet suivant: 

    (Apparition et disparition des formes d'expression féminine dans la création artistique notamment).

    Il s'agit d'une sorte texte que je dois écrire sur le combat entre l'expression des formes selon le genre, masculin ou féminin dans les arts, leur survie, leur transmission dans la mémoire collective en dehors de la sphère familliale (bourgeoise ou prolétaire), ainsi que la manière dont "certains" hommes (mais plus seulement les hommes puisqu'aujourd'hui les phallocrates sont mieux connues et qu'elles sont aussi présentes et aussi voleuses que leurs confrères mâles) s'accaparent le travail des femmes de moindre condition sociale par exemple (ceci ne vient pas uniquement par le fait de la condition sociale) mais pas uniquement, et s'en attribuent la paternité ou maternité pour les femmes.

    Donc pour une première partie il s'agit à nouveau de montrer bien que cela ait déjà fait auparavant par ce que l'on nomme des grandes intellectuelles comment la forme de pensée la mieux entendue et la mieux transmise est celle du genre masculin. (Particulièrement dans l'écriture mais pas uniquement, la peinture surtout.).

    Comment et pourquoi le genre féminin est à nouveau nié dans ses formes d'expression, étant souvent jugé ennuyeux et pourquoi il est implicitement demandé aux femmes qui s'expriment publiquement d'utiliser la violence, le discours ou recours au langage obcène, ainsi que la pornographie des images et des mots afin de pénétrer les cerveaux masculins en vue de laisser une trace autre que celle autorisée par la société : reproduction où travail à fond perdu c'est à dire travail qui permet de payer ses factures.

    Comment donc en tant que femmes nous sommes sommées d'utiliser la violence pour écraser le concurrent masculin spécialement dans le discours, (mais aussi dans l'attitude, la gestuelle, le langage infra-verbal)

    Est-il possible de fuir la confrontation masculin-féminin afin d'éviter la défaite symbolique du féminin et donc sa soumission? Ou bien de se retrouver dans le rapport de domination de genre qui me semble à moi assez inconfortable du fait de sa nature sexuée et donc assez embêtant pourrait-on dire pour faire court. Les deux versions étant assez inconfortables d'ailleurs car, je m'explique :

    "Autrefois on réduisait les femmes à leurs attributions sexuelles, sexy quand elle n'étaient pas mères et asexuées et donc sans désir quand elles étaient mères, pareillement dans le discours et la manière de le recevoir. On s'adressait tantôt à une mère tantôt à une femme jugée capable de recevoir le désir masculin voire de l'utiliser etc etc

    Aujourd'hui et en tout cas dans la sphère médiatique et publique c'est le discours "sexualisé" qui est très mode. Avec juste ce qu'il faut d'allusion sm ou autres, pervertissant légèrement le discours afin de lui donner de l'intêret j'imagine. Bref. La même rengaine depuis cent, deux cents, trois cents ans...

    Deux hommes qui se parlent ce sont deux cerveaux qui échangent par le biais du langage mais quand un homme s'adresse à une femme on se demande toujours ce qui discours en dehors des mots et ceci est toujours aussi parfaitement dérangeant que cela pouvait l'être à l'époque de la Princesse de Clève ou de la Comtesse de Ségur ou bien de Simone de Beauvoir.

    C'est assez souvent le problème du discours masculin, agressif  le plus souvent dans sa forme primaire il oblige à la confrontation sur le terrain qui est le sien celui de la violence verbale, de l'humiliation et de la négation du féminin donc du recours à la force afin d'affirmer sa supériorité et donc de garder le pouvoir même dans le langage où les hommes publiques depuis leurs ancêtres cro-magnon ont progressés.

    Comment donc dans cette lutte acharnée pour devenir et rester les maîtres du discours, les hommes qui n'ont plus trop besoin de solliciter leurs muscles dominent et contrôlent le discours publique.

    Tout ceci étant bien sûr à mettre entre guillemets et conditions de ceci et cela parce que les généralités ceci et cela. Bref!

    Mais bon je reviendrai plus tard sur le sujet et je nuancerai plus tard aussi ;)

     

    Partie 2 :

    Quel est l'enjeu de la domination masculine par le discours?
    L'enjeu est simple, il s'agit de pouvoir diffuser des idées, de les faire entendre et de les faire accepter. Comment font les femmes pour faire entendre les leurs d'idées?
    Elles s'éloignent.
    Elles prennent de la distance et quand il s'agit de faire entendre elles s'arrangent pour avoir un discours aussi raisonné que possible de manière à pouvoir se faire entendre des hommes.


    Qu'est-ce que cela produit comme effet désagréable?

    L'impression que des dragons, des hommes en jupons s'expriment?

    Comment en 2011, fait-on pour supporter encore et toujours les mêmes a-priori et habitudes sociales sur notamment le discours mais pas uniquement cela a cours dans toute la société, à tous les étages et dans toutes les sortes d'entreprises.

    Donc, donc...

    Les formes d'expression féminines comment sont-elles perçues?

    De manière floue, vague, avec peu de retentissement, peu de "force" peu de "portée".
    Ou peut-être à nouveau et toujours dans les couches sociales les mieux éduquées à la compréhension d'autrui. 

    Les femmes sont-elles condamnées à se comporter comme des hommes pour apparaître dans la société?
    Il y a des chances oui et en fait ce qui m'est apparu à force d'observer la manière dont les choses se passent autour de soi, je pense qu'il y a pire. 

    Les formes d'expressions relatives au féminin ont tendance à peu perdurer, à peu prendre racine dans la société qui entre le 18ème siècle et le 21ème par exemple s'est fortement masculinisée et notamment dans l'apparition des techniques de l'industrie.

    Il semblerait mais pour l'instant étant dans mes notes je ne peux pas dire plus, il semblerait donc et je mets tout ceci entre guillemets une nouvelle fois que l'expression féminine, on le voit notamment dans la manière dont la maternité (comme fait à la fois réel et symbolique) est perçue et vécue par l'ensemble des femmes aujourd'hui et par la société il semblerait donc par exemple que ce genre d'expression féminine soit devenue une sorte de frein à l'expansion marchande, que la répression et la mise à l'écart des femmes en tant que femmes dans la sphère publique soit devenu une sorte d'accord tacite, appliqué régulièrement.

    "Une partie de cette vie des femmes" lentement gommée des consciences de manière à faire agir de le discours mécanisant.
    Le rapport au temps, l'ancrage du temps dans le rapport mère enfant, l'automatisation des pensées et des actes qui suivent ceci étant vécu et dit comme des progrès. Or...il me semble et il semble de plus en plus clair que l'éloignement à la fois des rapports naturels et ancestraux aux mères dans la famille mais aussi l'éloignement du rapport à la nature produit des êtres de plus en plus éloignés de "l'humain", de moins en moins conscients d'eux mêmes et de leurs prérogatives d'humains, de plus en plus "rigides" et automatisés.

    La barbarie à visage humain, n'a alors aucun mal à faire entendre sa voix et à s'imposer à tous avec son visage livide, ses actes froids et déshumanisés, le visage de l'exploitation continuelle des désirs, actes et vies des citoyens d'un pays. 

    La rationalisation extrême étant requise afin de permettre à la société du 21ème Siècle, surpeuplée et ayant un rapport au temps parfaitement "utilitarisée" de survivre sans que le chaos n'apparaisse totalement est en train de produire des "monstres", tant dans les institutions que dans la société civile.

    Il n'est jamais utile de crier "au loup" avant que ne surviennent les événements dont on peut tirer des conclusions définitives, acceptées par tous et avalisées à la fois par la réflexion et par le travail des historiennes (iens), cependant il est du devoir de chacun de savoir et de prendre en compte les circonstances et les actes qui les entourent et leur semble de moins en moins normales, de moins en moins supportables et donc de mettre son discours en rapport avec ce fait.

    Je ne parle évidemment pas des politiciens qui ne sont que l'émanation de ce climat de violence morale et psychologique fait et produit par la société marchande.

    Je peux prendre parmi tant d'autres des exemples des dégâts phénoménaux que les centrales d'achats par exemple ont produites dans la société et la manière dont la course aux profits et aux prix bas a directement tué de nombreux paysans, certains s'étant directement suicidé d'autres ayant tout bonnement perdu toute possibillité de travailler et d'entretenir leurs familles.

    La culture du supermarché est une culture de mort, de pression et d'oppression, mise en place par des gens dont le travail est de nous fabriquer des centres de nourrissages de veaux avec dans l'optique de tirer le maximum de profits d'une activité ayant toujours été "noble" et qui est aujourd'hui devenue une activité méprisable de vente de carton d'emballage et de dérivés  pétrolifères, produisant des maladies, et des ultra exploités dont les femmes notamment. 
     

    Ces gens capables des pires bassesses afin de d'exploiter les agriculteurs par exemple ne reculent devant aucune compromission, aucun mensonge, aucune technique pour alpaguer le chaland et écouler leurs marchandises falsifiées. Techniques psychologiques de conditionnement, détournement constant des valeurs, utilisation de tous les matériaux à caractère agressif afin de mieux contrôler (ou même carrément d'empêcher) les pensées et de "déclencher" les actes d'achats des clients, lumières violentes, couleurs à caractère agressif, musiques diffusées en boucle, bref, l'ère du conditionnement a commencé par l'abandon des territoires à ces hordes sauterelles, qui ont pillé et "trusté" absolument toutes les richesses alentour.


    [Voir de quelle manière le territoire française se vide de tous les commerces de proximité avec la naissance d'un nouveau supermarché.]

    Rendre le client heureux! Mais bien sûr! Le client est heureux quand on le respecte et le respect c'est avant tout le respect de sa sphère privée. Quand on ne s'autorise pas de jouer avec ces sentiments, ces émotions, ces relations familliales! Que l'on ne se permet pas et ce n'est qu'un exemple de le diriger par l'odorat comme un animal! 

    Non on n'est pas bien dans un centre commercial!

    Il n'y a pas de loisirs dans un centre commercial mais des activités à caractère commercial mises en place pour retenir l'attention et capter l'argent des badauds! Il y a le chauffage c'est à peu près tout ce que l'on peut accepter comme notion de bien être. Mais le reste! Le reste!
    C'est quoi exactement si ce n'est des pièges à imbéciles hagards et décérébrés? Rien.

    Des interdictions constantes auraient du naître au fur et à mesure de l'expansion de ces saletés! Si les politiciens de ces trentes dernières années n'avaient été autrechose que des ânes bâtés vendus aux industriels!

    La concentration!? Mais que ne transforme t-on pas les lieux où des millions de corps ont été brulés en "supermarchés"?! Je sais cela a été pensé! 

    L'hyper concentration et tout le vocabulaire répugnant des "marketteurs de bas étages" (certes la plupart riches aujourd'hui et pouvant à loisir se gausser de tout le foin que l'on fait autour de leurs activités à caractère légèrement frauduleuses, en tout cas moralement et cela plus que certainement) sont des mots qui n'ont plus aucun sens aujourd'hui qui ont été inventés à une époque où les gens été rassemblés autour d'usines dans des sortes de dortoirs.

    Mais quoi concentrer aujourd'hui? : des chômeurs, des sans papiers, des exclus, des handycapés, des femmes seules avec enfants en bas âge, des retraités pauvres? 

    A quoi cela correspond-il si ce n'est à la perduration d'un système créé par et pour les industriels?

    A rien! Strictement et positivement rien. Banlieues en feu, en colère, hors d'eux?

    Mais comment ne pas l'être?

    Comment supporter cette vie de taupes dans des cités moches sans ciels et sans arbres aux pelouses et aux trottoirs tâchées de déjections et d'urines d'animaux, vivant dans le bêton et l'ennui, le rejet et l'incompréhension, "à la ramasse" quand des millions de jeunes trouvent une vie correcte, eux se savent condamnés en majorité comme leurs aînés à se reproduire dans l'inégalité et l'indifférence! Et je ne parle pas uniquement de ceux qui souffrent dans leur vie mais aussi de tous ces gens que l'on pressurise contamment (transports hors de prix, boulots sous payés) et qui vivent à la limite de la précarité et qui savent très bien que la seule chose qu'ils peuvent faire c'est se taire et continuer.

    Comment ignorer ces trente ans de mensonges  qui viennent de s'écouler, trente années de serinages d'imbécillités, de stupidités, trente ans à lutter contre le racisme social à peine dissimulé, l'indifférence effective et la précarité décidée par quelques uns, aux commandes, imposant leurs modèles totalitarisant, humiliant constamment, choisissant parmi les esclaves qui pourra survivre en fonction de critères relatifs à leur capacité à être des lâches, des silencieux, des gens soumis, reconnaissants.

    Bref! Je me calme! Mais il y a beaucoup à dire sur ces sujets, beaucoup à expliquer et à diffuser, beaucoup à donner à comprendre, et à traduire aussi!

     

    Et toujours pas la possibilité de déposer des commentaires car en fait ce n'est pas que je m'en moque c'est que ce n'est pas très utile.
    En réalité ici j'écris et je balance tout ce qui me passe par la tête ce n'est pas vraiment fait pour discuter. :)