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Vous ne me connaissez pas personnellement. Mais je peux vous l'assurer, je ne suis pas Musulman de confession religieuse. Je suis même Catholique. A tendance laïque car comme tous ceux qui me lisent, j'imagine, je suis née dans une république et je pense que c'est une chance. J'aime mon pays je vous l'ai déjà écrit et j'aime l'histoire de ce pays qui l'a conduit à porter des valeurs importantes et uniques dans le monde. J'estime que la France et spécialement les révolutionnaires Français ont inventé un modèle unique de république qui a continué à s'améliorer avec le temps et avec tous les événements qui ont suivi la révolution française. Je ne puis donc pas être comme vous le remarquez soupconnée de trahison ni de mépris ni de quoi que ce soit d'autre de ce genre d'ailleurs à l'égard de mon pays , la France. Je ne suis pas non plus très portée sur la vénération des religions d'un point de vue politique. J'estime que la séparation de l'état et de la religion dominante dans un pays est un gage de sécurité pour la pratique d'autres religions et surtout pour la paix religieuse.
Depuis l'édit de Nantes qui a suivit l'épisode sanglant de la Saint Barthélémy, tout le monde devrait savoir que cette séparation des pouvoirs religieux et politique est le plus sûr gage pour le maintien de la paix religieuse dans un pays. D'autres qui n'ont pas eu cette chance (ex-yougoslavie par exemple) ont pendant des années subit des guerres entre religions et nations. Tout ceci pour vous dire à quel point, je me réjouis de cette nouvelle qui on peut le dire intervient après des années de négligence envers cette religion qui depuis le 11/01 a pris une place politique non négligeable dans le monde, ç-a-d que personne ne peut plus ignorer.
Je m'explique. En fait comme tous les citoyens normaux de ce pays qui ont à coeur de faire partie d'une communauté unie par les mêmes valeurs (!) j'ignorais que dans certaines villes de france et spécialement dans celles de banlieue parisienne, aucun lieu de culte correct digne de ce nom et normal n'ait été prévu pour accueillir les fidèles de cette religion. (Je ne parle bien entendu pas des caves où certains pratiquants ont été contraints de prier pendant de nombreuses années).
Ces musulmans pratiquants qui ne viennent pas d'arriver d'Arabie Saoudite par cargo spécial non, non, sont là depuis au moins vingt, quarante voire soixante ans pour les plus anciens! Ont-ils quelquechose à voir de près ou de loin avec la nébuleuse Al Quaïda? (dont moi je doute autant de l'existence que de celle de l'Ile aux enfants dont on m'avait pourtant dit qu'elle existait! Et que j'ai vu à la télé aussi. Bref!)
Serait-ce des fanatiques? (des gros machins tout moches avec une barbe et un couteau de fanatique entre les dents?) Des voyous? Des gangsters de bas étage? (des voleurs de banques, détrousseurs de vieilles femmes veuves et orphelines?)
Que nenni mon ami, laisses moi te raconter un peu de qui il s'agit : _La plupart de ces hommes sont des ouvriers issus des classes populaires travaillant d'arrache-pied depuis de nombreuses années dans notre pays, dans l'anonymat et le respect des lois dont les enfants intégrés exercent des professions "normales" et qui vont comme d'autres vont à la messe, ou à la synagogue (ou au café pour les païens) après avoir payé leurs impôts, sorti la poubelle, embrassé leur femme et arrosé les plantes vertes : prier! Oui ils vont juste prier. Activité dangereuse s'il en est, la prière.
Et alors quoi? Que se passe t-il exactement? On tolère et cela depuis très longtemps que ces gens qui n'enfreignent pas les lois, qui vivent en bonne entente dans un pays qui les a acueilli et qu'ils respectent n'aient pas la possibilité de se réunir pour prier tranquillement?
Et on attend quoi? Que les gens du FN toujours intéréssés par faire un esclandre (entends-tu mon ami le bruit des dents qui frottent grrrr grrrr) quand il s'agit de musulmans, magrhébins ou autres provenances jugées non conformes mettent leur nez dans "ce foutoir" car comment appeller ces images ignobles (oui il est ignoble d'avoir si peu de respect humain qu'on laisse des croyants prier dans les rues comme des je-ne-sais-quoi, tout comme il est ignoble de savoir que dans le monde de nombreux chrétiens du simple fait de leur foi sont persécutés car l'absence de respect conduit des petits actes aux grands.) de musulmans à genoux dans le milieu des rues par dizaines tandis que les voisins et habitants de la ville interrogés dans de nombreux reportages télévisés diffusés depuis quelques années se disent scandalisés par le nombre de ces musulmans? (Et si ça ce n'est pas de la propagande je ne sais pas ce que le mot propagande signifie en réalité?! °°)
Et donc quoi? (On attend que tout le monde menace de prendre sa carte au Front-National pour réagir et trouver une solution?) On doit s'éléver avec les habitants de cette ville? Se dire scandalisés? Contre quoi? Contre qui? Contre ces gens qui prient dans la rue ou bien contre une situation qu'on a laissé pourrir depuis longtemps?
Faire ceux qui n'étaient pas au courant que les musulmans dans notre pays et spécialement des classes populaires sont traités avec un grand mépris et aussi peu de considération que l'on accorderait à une horde de sauvages fraîchement débarquée de (1) "zoulouland" Et nul n'est besoin de rappeller que parmi ces gens que l'on voit à genoux prier dans les rues de notre république, on doit trouver des anciens combattants!
Je suis je vous l'ai écrit plus haut de confession religieuse catholique et excusez moi de me sentir choquée et révoltée à l'idée que des croyants quelle que puisse être leur confession religieuse aient dû pendant des années prier dans les rues au vu et au su de tous et spécialement de la classe politique qui nous montre là encore une fois sa grande utilité pour notre pays!!!
Le respect des croyances des autres c'est tout de même la base mais apparemment dans certains endroits et chez certains la base c'est plutôt du sable mouvant ou du brouillard voire du néant!
Zoulouland.def : Ne me demandez pas où se trouve "zoulouland" : je ne sais pas! Ah si ça doit être du côté de l'Afrique du Sud, mais je ne parle pas de ce zoulouland là, d'abord! Je parle du pays imaginaire que les (2) gens qui n'aiment pas les étrangers à leur pays ont inventé. Attends je vais te décrire un peu à quoi il ressemble ce pays que j'ai appellé ainsi parce que ça me rappellait Slumberland. Donc dans ce pays de sauvages qu'on parvient difficilement à localiser sur la carte IGN de Michelin ni dans le temps d'ailleurs parce qu'à mon avis on doit être à peu près au début du 18ème Siècle au moment de la découverte des pygmés par les explorateurs Européens. Donc dans ce pays, les gens sont sauvages. On les appelle comme ça d'ailleurs : des sauvages! On découvre qu'ils ont des moeurs étonnantes. Certains mangent leurs ennemis pour leur piquer leurs forces, d'autres font des constructions bizarres avec des morceaux de bois et des plumes : les totems! Voilà donc à quoi ressemble un pays de sauvages. Ah mais j'oubliais, d'autres excisent leurs femmes et d'autres se mettent des batons bizarres appellés étuis pelviens dans le sexe. Ouille! Là par contre c'est vraiment le foutoir et personne ne veut vraiment aller vivre dans ce pays qui ne fait pas très envie! Même de loin................................et même de très très très loin.........bref!)
Gens qui n'aiment pas les étrangers à leur pays.def: Donc voilà comme promis, chose promise chose due, je reviens gentiment te faire une explication de texte sur la locution précédente. Les gens qui n'aiment pas les étrangers à leur pays ou nationalistes ou encore les jours de grand vent, racistes, xénophobes f...d...hum bon j'arrête, sont des gens qui vivent dans un pays où tout le monde doit se ressembler (ou sinon ça leur fait des problèmes de reconnaissance et d'identités culturelles, qu'ils disent!!) et où de préférence plus les gens sont blancs mieux c'est. Et blanc c'est blanc pas jaune ni orange ni cacao ni vert, ni...bref rien d'autre que du blanc. Un genre de groupe de monomaniaques du blanc, des chemises repassées à cols durs, de robes à pois et à fleurs, d'idées assez arrêtées voire un peu retardées de temps en temps, de brushings au carré, et de montres aux poignets. Bref. Une sorte de secte intolérante, pas très drôle, parfois gentille quand tu es identifié formellement comme étant des leurs sinon assez désagréable si tu possèdes une moitié ou un quart mâtiné de je ne sais quoi qui viendrait d'on ne sait où et qui ne fréquente personne ayant deux moités importées si ce n'est d'Amérique! Juste en dessous. Appuie sur le bouton. Hop!
Lyrics Its four in the morning, the end of december Im writing you now just to see if youre better New york is cold, but I like where Im living Theres music on clinton street all through the evening.
I hear that youre building your little house deep in the desert Youre living for nothing now, I hope youre keeping some kind of record.
Yes, and jane came by with a lock of your hair She said that you gave it to her That night that you planned to go clear Did you ever go clear?
Ah, the last time we saw you you looked so much older Your famous blue raincoat was torn at the shoulder Youd been to the station to meet every train And you came home without lili marlene
And you treated my woman to a flake of your life And when she came back she was nobodys wife.
Well I see you there with the rose in your teeth One more thin gypsy thief Well I see janes awake --
She sends her regards. And what can I tell you my brother, my killer What can I possibly say? I guess that I miss you, I guess I forgive you Im glad you stood in my way.
If you ever come by here, for jane or for me Your enemy is sleeping, and his woman is free.
Yes, and thanks, for the trouble you took from her eyes I thought it was there for good so I never tried.
And jane came by with a lock of your hair She said that you gave it to her That night that you planned to go clear
Pourquoi j'aime les collages? Parce que. Et les patchworks? Parce que aussi. Les scrapbooks? Pareil que précédemment.
En réfléchissant et en lisant le titre de ce blog vous devriez trouver pourquoi.
Mais pourquoi alors, dans une note précédente, suis-je en train de pester contre un certain esprit que l'on retrouve dans la photographie contemporaine et que personnellement je trouve moche, qui copie vaguement et avec autant de prétention qu'il est possible d'en rassembler des souvenirs de camps (tas de chaussures and co) et pourquoi dans cette note-ci je vous parle de formes d'expression nées durant ces années?
Je me contredis?
Je dis, j'écris n'importe quoi?
Mais non, lecteur tu me connais depuis au moins dix ans et tu sais par avance que mon mépris ne s'applique qu'à ceux qui le méritent et certainement pas à toi lecteur (et surtout lectrices) qui prend le temps de me lire!
Donc pourquoi ai-je tant l'air de me contredire en exprimant deux avis qui semblent opposés?
Collages, scrapbooks, et patchworks ont été créés par les gens qui vivaient cette époque (et qui n'avaient pas d'autres choix car la matière première étant rare il fallait faire avec des morceaux récupéres et rassemblés comme on le pouvait) tandis que ces photographies sont des sortes de jeux intellectuels qui n'ont aucun rapport avec la réalité et qui moi m'évoquent plus une promenade à la morgue plutôt que la mémoire des gens qui ont combattu et vécu ces années.
Donc voilà. Ca va mieux lecteur? Tu t'y retrouves un peu.
_Quand aux lectrices les devinant un peu je pense qu'elles avaient compris car je ne suis pas la seule à aimer ces formes d'expressions. Je n'ai rien inventé et en cherchant un peu vous devriez trouver dans le travail de nombreuses femmes la référence à ces formes de création. Ces femmes qui m'ont inspirée et transmise ces jolies formes se sont auparavant inspirées du travail des précédentes_et je ne fais que transmettre à mon tour...
Voilà c'est tout pour la note sur les formes d'expression féminines, leur transmission et leur survivance à travers les époques et les modes.
Un autre jour je vous ferai une note sur le sujet suivant:
(Apparition et disparition des formes d'expression féminine dans la création artistique notamment).
Il s'agit d'une sorte texte que je dois écrire sur le combat entre l'expression des formes selon le genre, masculin ou féminin dans les arts, leur survie, leur transmission dans la mémoire collective en dehors de la sphère familliale (bourgeoise ou prolétaire), ainsi que la manière dont "certains" hommes (mais plus seulement les hommes puisqu'aujourd'hui les phallocrates sont mieux connues et qu'elles sont aussi présentes et aussi voleuses que leurs confrères mâles) s'accaparent le travail des femmes de moindre condition sociale par exemple (ceci ne vient pas uniquement par le fait de la condition sociale) mais pas uniquement, et s'en attribuent la paternité ou maternité pour les femmes.
Donc pour une première partie il s'agit à nouveau de montrer bien que cela ait déjà fait auparavant par ce que l'on nomme des grandes intellectuelles comment la forme de pensée la mieux entendue et la mieux transmise est celle du genre masculin. (Particulièrement dans l'écriture mais pas uniquement, la peinture surtout.).
Comment et pourquoi le genre féminin est à nouveau nié dans ses formes d'expression, étant souvent jugé ennuyeux et pourquoi il est implicitement demandé aux femmes qui s'expriment publiquement d'utiliser la violence, le discours ou recours au langage obcène, ainsi que la pornographie des images et des mots afin de pénétrer les cerveaux masculins en vue de laisser une trace autre que celle autorisée par la société : reproduction où travail à fond perdu c'est à dire travail qui permet de payer ses factures.
Comment donc en tant que femmes nous sommes sommées d'utiliser la violence pour écraser le concurrent masculin spécialement dans le discours, (mais aussi dans l'attitude, la gestuelle, le langage infra-verbal)
Est-il possible de fuir la confrontation masculin-féminin afin d'éviter la défaite symbolique du féminin et donc sa soumission? Ou bien de se retrouver dans le rapport de domination de genre qui me semble à moi assez inconfortable du fait de sa nature sexuée et donc assez embêtant pourrait-on dire pour faire court. Les deux versions étant assez inconfortables d'ailleurs car, je m'explique :
"Autrefois on réduisait les femmes à leurs attributions sexuelles, sexy quand elle n'étaient pas mères et asexuées et donc sans désir quand elles étaient mères, pareillement dans le discours et la manière de le recevoir. On s'adressait tantôt à une mère tantôt à une femme jugée capable de recevoir le désir masculin voire de l'utiliser etc etc
Aujourd'hui et en tout cas dans la sphère médiatique et publique c'est le discours "sexualisé" qui est très mode. Avec juste ce qu'il faut d'allusion sm ou autres, pervertissant légèrement le discours afin de lui donner de l'intêret j'imagine. Bref. La même rengaine depuis cent, deux cents, trois cents ans...
Deux hommes qui se parlent ce sont deux cerveaux qui échangent par le biais du langage mais quand un homme s'adresse à une femme on se demande toujours ce qui discours en dehors des mots et ceci est toujours aussi parfaitement dérangeant que cela pouvait l'être à l'époque de la Princesse de Clève ou de la Comtesse de Ségur ou bien de Simone de Beauvoir.
C'est assez souvent le problème du discours masculin, agressif le plus souvent dans sa forme primaire il oblige à la confrontation sur le terrain qui est le sien celui de la violence verbale, de l'humiliation et de la négation du féminin donc du recours à la force afin d'affirmer sa supériorité et donc de garder le pouvoir même dans le langage où les hommes publiques depuis leurs ancêtres cro-magnon ont progressés.
Comment donc dans cette lutte acharnée pour devenir et rester les maîtres du discours, les hommes qui n'ont plus trop besoin de solliciter leurs muscles dominent et contrôlent le discours publique.
Tout ceci étant bien sûr à mettre entre guillemets et conditions de ceci et cela parce que les généralités ceci et cela. Bref!
Mais bon je reviendrai plus tard sur le sujet et je nuancerai plus tard aussi ;)
Partie 2 :
Quel est l'enjeu de la domination masculine par le discours? L'enjeu est simple, il s'agit de pouvoir diffuser des idées, de les faire entendre et de les faire accepter. Comment font les femmes pour faire entendre les leurs d'idées? Elles s'éloignent. Elles prennent de la distance et quand il s'agit de faire entendre elles s'arrangent pour avoir un discours aussi raisonné que possible de manière à pouvoir se faire entendre des hommes.
Qu'est-ce que cela produit comme effet désagréable?
L'impression que des dragons, des hommes en jupons s'expriment?
Comment en 2011, fait-on pour supporter encore et toujours les mêmes a-priori et habitudes sociales sur notamment le discours mais pas uniquement cela a cours dans toute la société, à tous les étages et dans toutes les sortes d'entreprises.
Donc, donc...
Les formes d'expression féminines comment sont-elles perçues?
De manière floue, vague, avec peu de retentissement, peu de "force" peu de "portée". Ou peut-être à nouveau et toujours dans les couches sociales les mieux éduquées à la compréhension d'autrui.
Les femmes sont-elles condamnées à se comporter comme des hommes pour apparaître dans la société? Il y a des chances oui et en fait ce qui m'est apparu à force d'observer la manière dont les choses se passent autour de soi, je pense qu'il y a pire.
Les formes d'expressions relatives au féminin ont tendance à peu perdurer, à peu prendre racine dans la société qui entre le 18ème siècle et le 21ème par exemple s'est fortement masculinisée et notamment dans l'apparition des techniques de l'industrie.
Il semblerait mais pour l'instant étant dans mes notes je ne peux pas dire plus, il semblerait donc et je mets tout ceci entre guillemets une nouvelle fois que l'expression féminine, on le voit notamment dans la manière dont la maternité (comme fait à la fois réel et symbolique) est perçue et vécue par l'ensemble des femmes aujourd'hui et par la société il semblerait donc par exemple que ce genre d'expression féminine soit devenue une sorte de frein à l'expansion marchande, que la répression et la mise à l'écart des femmes en tant que femmes dans la sphère publique soit devenu une sorte d'accord tacite, appliqué régulièrement.
"Une partie de cette vie des femmes" lentement gommée des consciences de manière à faire agir de le discours mécanisant. Le rapport au temps, l'ancrage du temps dans le rapport mère enfant, l'automatisation des pensées et des actes qui suivent ceci étant vécu et dit comme des progrès. Or...il me semble et il semble de plus en plus clair que l'éloignement à la fois des rapports naturels et ancestraux aux mères dans la famille mais aussi l'éloignement du rapport à la nature produit des êtres de plus en plus éloignés de "l'humain", de moins en moins conscients d'eux mêmes et de leurs prérogatives d'humains, de plus en plus "rigides" et automatisés.
La barbarie à visage humain, n'a alors aucun mal à faire entendre sa voix et à s'imposer à tous avec son visage livide, ses actes froids et déshumanisés, le visage de l'exploitation continuelle des désirs, actes et vies des citoyens d'un pays.
La rationalisation extrême étant requise afin de permettre à la société du 21ème Siècle, surpeuplée et ayant un rapport au temps parfaitement "utilitarisée" de survivre sans que le chaos n'apparaisse totalement est en train de produire des "monstres", tant dans les institutions que dans la société civile.
Il n'est jamais utile de crier "au loup" avant que ne surviennent les événements dont on peut tirer des conclusions définitives, acceptées par tous et avalisées à la fois par la réflexion et par le travail des historiennes (iens), cependant il est du devoir de chacun de savoir et de prendre en compte les circonstances et les actes qui les entourent et leur semble de moins en moins normales, de moins en moins supportables et donc de mettre son discours en rapport avec ce fait.
Je ne parle évidemment pas des politiciens qui ne sont que l'émanation de ce climat de violence morale et psychologique fait et produit par la société marchande.
Je peux prendre parmi tant d'autres des exemples des dégâts phénoménaux que les centrales d'achats par exemple ont produites dans la société et la manière dont la course aux profits et aux prix bas a directement tué de nombreux paysans, certains s'étant directement suicidé d'autres ayant tout bonnement perdu toute possibillité de travailler et d'entretenir leurs familles.
La culture du supermarché est une culture de mort, de pression et d'oppression, mise en place par des gens dont le travail est de nous fabriquer des centres de nourrissages de veaux avec dans l'optique de tirer le maximum de profits d'une activité ayant toujours été "noble" et qui est aujourd'hui devenue une activité méprisable de vente de carton d'emballage et de dérivés pétrolifères, produisant des maladies, et des ultra exploités dont les femmes notamment.
Ces gens capables des pires bassesses afin de d'exploiter les agriculteurs par exemple ne reculent devant aucune compromission, aucun mensonge, aucune technique pour alpaguer le chaland et écouler leurs marchandises falsifiées. Techniques psychologiques de conditionnement, détournement constant des valeurs, utilisation de tous les matériaux à caractère agressif afin de mieux contrôler (ou même carrément d'empêcher) les pensées et de "déclencher" les actes d'achats des clients, lumières violentes, couleurs à caractère agressif, musiques diffusées en boucle, bref, l'ère du conditionnement a commencé par l'abandon des territoires à ces hordes sauterelles, qui ont pillé et "trusté" absolument toutes les richesses alentour.
[Voir de quelle manière le territoire française se vide de tous les commerces de proximité avec la naissance d'un nouveau supermarché.]
Rendre le client heureux! Mais bien sûr! Le client est heureux quand on le respecte et le respect c'est avant tout le respect de sa sphère privée. Quand on ne s'autorise pas de jouer avec ces sentiments, ces émotions, ces relations familliales! Que l'on ne se permet pas et ce n'est qu'un exemple de le diriger par l'odorat comme un animal!
Non on n'est pas bien dans un centre commercial!
Il n'y a pas de loisirs dans un centre commercial mais des activités à caractère commercial mises en place pour retenir l'attention et capter l'argent des badauds! Il y a le chauffage c'est à peu près tout ce que l'on peut accepter comme notion de bien être. Mais le reste! Le reste! C'est quoi exactement si ce n'est des pièges à imbéciles hagards et décérébrés? Rien.
Des interdictions constantes auraient du naître au fur et à mesure de l'expansion de ces saletés! Si les politiciens de ces trentes dernières années n'avaient été autrechose que des ânes bâtés vendus aux industriels!
La concentration!? Mais que ne transforme t-on pas les lieux où des millions de corps ont été brulés en "supermarchés"?! Je sais cela a été pensé!
L'hyper concentration et tout le vocabulaire répugnant des "marketteurs de bas étages" (certes la plupart riches aujourd'hui et pouvant à loisir se gausser de tout le foin que l'on fait autour de leurs activités à caractère légèrement frauduleuses, en tout cas moralement et cela plus que certainement) sont des mots qui n'ont plus aucun sens aujourd'hui qui ont été inventés à une époque où les gens été rassemblés autour d'usines dans des sortes de dortoirs.
Mais quoi concentrer aujourd'hui? : des chômeurs, des sans papiers, des exclus, des handycapés, des femmes seules avec enfants en bas âge, des retraités pauvres?
A quoi cela correspond-il si ce n'est à la perduration d'un système créé par et pour les industriels?
A rien! Strictement et positivement rien. Banlieues en feu, en colère, hors d'eux?
Mais comment ne pas l'être?
Comment supporter cette vie de taupes dans des cités moches sans ciels et sans arbres aux pelouses et aux trottoirs tâchées de déjections et d'urines d'animaux, vivant dans le bêton et l'ennui, le rejet et l'incompréhension, "à la ramasse" quand des millions de jeunes trouvent une vie correcte, eux se savent condamnés en majorité comme leurs aînés à se reproduire dans l'inégalité et l'indifférence! Et je ne parle pas uniquement de ceux qui souffrent dans leur vie mais aussi de tous ces gens que l'on pressurise contamment (transports hors de prix, boulots sous payés) et qui vivent à la limite de la précarité et qui savent très bien que la seule chose qu'ils peuvent faire c'est se taire et continuer.
Comment ignorer ces trente ans de mensonges qui viennent de s'écouler, trente années de serinages d'imbécillités, de stupidités, trente ans à lutter contre le racisme social à peine dissimulé, l'indifférence effective et la précarité décidée par quelques uns, aux commandes, imposant leurs modèles totalitarisant, humiliant constamment, choisissant parmi les esclaves qui pourra survivre en fonction de critères relatifs à leur capacité à être des lâches, des silencieux, des gens soumis, reconnaissants.
Bref! Je me calme! Mais il y a beaucoup à dire sur ces sujets, beaucoup à expliquer et à diffuser, beaucoup à donner à comprendre, et à traduire aussi!
Et toujours pas la possibilité de déposer des commentaires car en fait ce n'est pas que je m'en moque c'est que ce n'est pas très utile. En réalité ici j'écris et je balance tout ce qui me passe par la tête ce n'est pas vraiment fait pour discuter. :)
When they poured across the border I was cautioned to surrender This I could not do I took my gun and vanished. No one asks me when I'm going No one asks me what I'm doing Comrade, you who know Oh, you must keep my secret. I have changed my name so often I've lost my wife and children But I have many friends And some of them are with me
An old woman gave us shelter Kept us hidden in the garret Then the soldiers came She died without a whisper. There were three of us this morning I'm the only one this evening But I must go on The frontiers are my prison.
Oh, the wind, the wind is blowing Through the graves the wind is blowing Freedom soon will come Then we'll come from the shadows.
Notes et phrases non écrites entre 1998 et 2002. Parfois la vie manque de stylos qui trainent ou d'ordis allumés sur la bonne page, ou de temps aussi. On court, vole, va et vient, entre et sort, rencontre et quitte, vie et meurs et hop, on n'a pas le temps d'écrire tout ce qui vous passe par la tête. On ne sait pas si un jour on aura le temps, en attendant on note dans un coin de sa tête, ne pas oublier ceci, cela et encore cela. Et puis une année qui va un peu moins vite que les autres on trouve le moment de poser rapidement toutes les sortes d'idées (même les bizarres!) sur lesquelles on n'a jamais eu le temps de s'attarder mais qui en les écrivant permettrait de revenir dessus et de trouver deux ou trois réponses à deux ou trois questions qui trainaient encore. On balance en vrac, on ne trie pas, on relit à peine, on retrouve tous les chemins qui mènent de l'une à l'autre et soudain on comprend comment il va falloir les réorganiser pour pouvoir les utiliser un autre jour dans un autre contexte ou bien peut-être d'écrire un texte qui viendra remettre de l'ordre dans la désorganisation volontaire des idées de passages. Une sorte d'espace particulier permet aux idées neuves de naître du désordre ou de l'incohérence. Pas dans toutes les circonstances mais seulement dans le temps réservé à cette fin. Quelquefois. Commentaire trouvé sur le site à vérifier : In fact, this song is from Anna Marly. It is a real song of french resistance. One of the authors is a great resistant whose name is Emmanuel d'Astier de La Vigerie. The song was written by Anna Marly and him in 1943.
Traduction rapide :
En fait cette chanson est d'Anna Marly. C'est une véritable chanson de la résistance Française. Un des auteurs est un grand résistant nommé Emmanuel d'Astier de la Vigerie. La chanson a été écrite par A. Marly et lui en 1943.
En France nous vénérons la mémoire de ces résistants (loin de moi l'idée d'exprimer un quelconque problème à ce propos) ce qui est plus ennuyeux c'est que cela permet à n'importe qui de "la ramener" sur le sujet comme si quoi que ce soit dans leur existence pouvait le leur permettre, ce qui à mon sens est un peu comment dire ça...poliment (!) un genre de laisser aller morale. Bref, bref.
Les personnes (les vrais résistants, qui ne sont plus là pour en parler puisque dans l'ensemble ils sont assez décédés) qui ont du traverser cette époque parlaient rarement de cette manière-ci car encore une fois comment dire cela justement?
Comment dire d'avoir vu ses amis trahir, d'avoir même dû trahir pour protéger sa famille, d'avoir vu ses prôches voisins collaborer et aller jusqu'à vendre des hommes pour un morceau de pain. Rien de "glorieux" dans tous ces souvenirs. Même si de loin on serait tenté par l'aventure, de près la faim, les privations, et autres horreurs non dicibles font assez peu envie. Bref.
Cette période ayant été une des pires avec 14-18 de l'histoire des guerres du 20ème Siècle il est bon de se rappeller parfois le courage et l'obstination des anciens pour faire que la justice arrive et que le mensonge, la cupidité, l'avarice, la cruauté et les infâmies disparaissent de notre pays et de tenter de protéger leur mémoire de la cupidité et de l'avarice des nouveaux qui parfois sont plus que tenter de profiter d'une mémoire que l'on peut dire sacrée tant les sacrifices de ceux qui l'on faîtes avec leur sang, leur souffrance et leurs larmes ont été grands.
Injustice étendue aux masses : (ou absence de considération de la part des pouvoirs publiques envers une partie de la population ou d'un territoire)
Je pense avec tant d'autres que la lutte contre l'injustice 1_et spécialement l'injustice étendue aux masses (et à certains peuples en particulier) se rappelle à notre mémoire à intervalle régulier et que les mêmes causes produisant en générale à peu près les mêmes effets, nous aurons il me semble tôt ou tard à revenir sur le sujet.
La surpopulation :
Je ne m'étendrai pas ici sur ce que la surpopulation dans certaines parties des villes produit comme effet désastreux sur le morale d'une population ajoutée aux habituelles causes : la misère et le chômage etc etc etc...doublé de l'illetrisme et de l'analphabétisme galopant, surmonté d'une touche de démence populaire (ou populisme pour le mot poli), portée par certains dirigeants oscillant entre crapules, escrocs, bonimenteurs de foire : nous avons là le portrait d'une époque descendant peu à peu dans les caves de l'histoire...Mais bref!
A suivre.
Histoire et transmission :Ce que l'Histoire ne transmet pas.
La grande Histoire (racontée aux enfants pourrais-je ajouter) ne transmet pas la vérité ni le réel, ni le présent du...passé!
Elle mixe des éléments du réel pour faire une photographie approximative du réel. Elle construit du réel "objectivé" par le biais d'un discours. Cette manière de raconter le réel est une manière de donner et de trouver un sens, de dégager une direction dans une histoire qui se fait aussi et parfois surtout avec des élements du "désordre".
Qu'en est-il de la vie réelle, de celle que nous vivons tous les jours et qui a donc été vécue et qui constitue aussi l'histoire : pas grand chose! voire rien. Qu'en est-il exactement de ce que l'on nomme par exemple, sentiment populaire ou plus généralement opinion publique? (ça c'est interessant parce qu'en fait c'est une notion dont on pourrait dire qu'elle a peu de sens, pourtant...ce sentiment populaire ou opinion publique est celui qui émerge de manière la plus visible lors des grandes crises où des grands troubles que peut traverser un pays...et qui peut faire basculer un pays dans de plus grands troubles encore.
Quelle différence entre le terreau révolutionnaire issu donc du peuple et un mouvement politique se réclamant du populisme? etc etc ..
Quelle différence encore entre un politicien qui est à l'écoute de ses concitoyens et un politicien qui verse allègrement dans le populisme?
Quelle différence encore entre une révolution et un mouvement populaire "populiste"?
et donc trés peu à ce sujet ou de vagues commentaires souvent donnés comme étant judicieux car il est toujours extrêmement facile de se donner l'air intelligent en formant des a-priori construits dans une faculté à l'abri des événements réels justement tout en distillant habilement du mépris de classe et en évitant d'expliciter précisémment des notions aussi importantes que le "populisme" et la "démagogie" .
Qu'est-il dit justement de la force et du pouvoir de ce sentiment, de la démission des "politiciens" face à un raz de marée législatif. Comment par exemple la "débacle" de 39 est mal explicitée, pour ceux qui ont eu le temps justement d'entendre le récit des témoins.
"Quand tout semble mal tourner, que la population n'a plus confiance en des élites corrompues par la paresse, le luxe, le mépris de classe, qu'il est impossible d'expliquer à Madame Michu ou à moi ou à vous que si nos enfants n'ont pas de travail stable depuis des années ce n'est pas directement à cause de ceci ou de cela mais de ce que l'on nomme "une conjoncture" ". Le différenciel entre le sentiment populaire est la réalité peut être grand, peu importe il est celui qui détermine les "changements" attendus et souhaités.(!) Le vote Lepéniste de 2002, puis Sarkoziste de 2007... porté par un sentiment d'injustice grandissante, une féroce volonté de survivre, une envie d'éliminer les concurrents au libéralisme débridé étant jugé comme le sauveur d'une économie moribonde, pourrie par la démission, et la corruption.
Qu'est-ce exactement que "la conjoncture" pour des gens qui "rament" depuis des années alors que les voisins prospèrent juste à côté d'eux et que rien n'explique cette situation si ce n'est un petit mot que l'on répète doucement et qui n'a de sens réel que des pour des élites habitués à manier et à manipuler le langage pour lui faire dire ce qu'il est "convenable" de dire.
Que peut-on transmettre de cela?
Est-il possible d'expliquer dans une école donc dans un lieu public "républicain", alors que justement le creuset de la République c'est bien l'école précisémment (où justement les valeurs de la République sont transmises apprises et expliquées aux sans-culottes naissants :) qu'il existe certaines périodes de l'histoire qui échappent à l'explication rationnelle ou du moins que l'on tente parfois vainement d'expliquer sans y parvenir réellement?
Comment parvenir à expliquer au plus grand nombre que "le politique" dans une société étant déterminé par un nombre important de facteurs est aussi peu fiable que la météo qui nous est donnée chaque jour, où les prévisions du zodiaque?
De l'histoire des événements quelques lignes au plus dans un cours d'histoire étalonné sur le plus petit dénominateur commun afin de se faire entendre du plus grand nombre.
Quoi de la réalité et de tous les facteurs qui la détermine, deux lignes au plus.
Qu'apprend-on de cela?
Le minimum qui ne nous servira jamais à être acteur dans le cours de l'histoire.
De la montée des extrêmismes en Europe dans les années trente : nous n'avons pas d'explications claires.
Un ensemble de facteurs ayant été repéré à distance c'est-à-dire quelques années après et avec beaucoup de tergiversations et de discussions entre analystes comme étant les responsables....
C'est court?
Dans l'ensemble oui.
Car si nous pensons pouvoir modifier (en transmettant les causes et en les expliquant au plus grand nombre) le déroulement de l'histoire nous sommes un jour ou l'autre dépassés par des facteurs qui tentent de dominer justement en interrompant ou en modifiant brutalement le cours d'une histoire dont ils sont apparemment exclus et dont ils veulent être les "Acteurs".
La misère par exemple est un facteur récurrent dans l'émergence des courants de révoltes, (famines en Irlande au début du Siècle, révolution russe etc etc.) Peut-être le récit de la misère et des souffrances vécues par un peuple n'est-il pas assez "glamour" pour ceux qui font les cours d'histoire ou pour ceux qui les écoutent et dont le droit de regard se transforme souvent en pression? Quand on évoque la montée du nazisme en Europe par exemple, il n'est pas dit clairement que le peuple allemand souffre de manière indicible de la misère et que la venue de Hitler permettra à l'allemagne de se relever. Pareil pour l'Italie. Si j'insiste sur ce point c'est qu'il me semble que le facteur "misère" est mal vu par l'intelligentsia qui semble mal comprendre à quel point il est difficile pour un peuple de se résoudre à la violence politique (gauche ou droite d'ailleurs) afin de tenter de survivre à une crise économique grave. Ce facteur "misère" est déterminant dans de très nombreux événements et dans de nombreux pays.
Avertissement : Cette partie de ma note est une sorte de supposition. C'est une remarque que je me suis faîte et que je me suis empressée de mettre par écrit afin de ne pas l'oublier. Elle n'est pas rédigée entièrement et mérite des précisions et quelques explications supplémentaires ou "bémols" pour les intimes.
Précédant le déclenchement de la seconde guerre mondiale, en Europe,
2_ des groupes sont exclus et se sentent exclus d'une culture qui se libère et libère une partie de la population.
Des mouvements culturels jeunes apparaissent un peu partout dans la partie de l'Europe qui se relève de la première guerre mondiale..."Les années folles"... jazz et libération sexuelle.
Allemagne et France ont le même genre de libération dans la même période.
A suivre.
2_Ils finiront par se rassembler sous une même bannière. Ayant pour objectif de préserver leurs gènes (leur patrimoine génétique ainsi que leur culture).
L'histoire des événements ne permet pas de comprendre l'ensemble des facteurs qui émergent et qui apparaissent comme étant incontournables dont celui ô combien important des peuples et de la lutte pour leur survie et la transmission de leurs caractéristiques quand ils se sentent menacés, ce facteur n'étant pas prise en compte de manière suffisante dans le récit de ce qui est l'histoire d'un pays voire pas du tout pris en compte car ayant peut-être, nul ne sait une connotation "politique" qui déplait à l'élite des trente dernières années qui s'est employée à évacuer du discours toute pierre d'achoppement ayant pour fonction la provocation d'une révolte.
Et la lutte pour la survie des peuples est une notion qui est posée sur l'arête. C'est une idée qui n'a pas bonne presse car mal utilisée ou mal employée elle permet de dire des choses horribles.
Mais personnellement j'ai toujours pensé que toutes les idées pouvaient avoir le droit de s'exprimer même quand elles dérangent notre confort morale.
(In "langage symbolique" : discours publique et obligation d'une pensée unique sous peine d'être soit disqualifié pour le motif d'ignorance ou d'être toujours disqualifié pour des motifs plus graves, d'être apparenté à l'extrême droite française).
Tout comme les luttes de clans et les luttes d'interêts de classe à l'intérieur d'une société ne sont pas pris en compte non plus dans l'explication de ce qui permet aux événements d'arriver ou bien de ne pas arriver.
Note annexe : modification des caractéristiques du sentiment national en fonction des événements politiques extérieurs. Europe. Quel rapport à la nation? Quelle nation? Dissolution du sentiment national dans le sentiment d'appartenance à une fédération d'états, parcellisée d'une Europe comprenant 27 identités différentes.
A quand la disparition de l'état au profit d'une machine administrative européenne...? Dissolution de la République Française dans la technocratie libérale Européenne. (toujours pas de jugement de valeurs, constat. Tentative relative d'établir une consttitution Européenne affirman, ré-affirmant la suprématie des peuples sur le pouvoir. Quel effet réel?) 2000-2010. La place des peuples de chaque pays dans ce bain européen?
Etalonnage des valeurs fondatrices de chaque pays? Démocratie? République? Monarchie? Disparition de la République Française? Naissance d'une fédération des Etats européens sans principes fondateurs? Question posée et répondue n'importe comment par des élites analphabètes, incapables de penser le monde autrement qu'en problèmes pragmatiques, pas de philosophie constitutive d'une pensée ayant pour but la préservation par exemple mais pas uniquement de la dignité humaine. Déc
Valeur symbolique de la déclaration de l'homme et du citoyen en France pour le peuple français.
Définition et place de l'être humain dans la société sans valeurs philosophique du grand supermarché. "Les lumières" ou comment la réflexion philosophique a permis aux révolutionnaires d'instituer des valeurs "humanistes" au sein d'un système étatique, fondatrices et constitutives de la nation réformée. Quelles valeurs fondatrices rassemblent 27 peuples de tradition politique et culturelle différentes? L'Euro? L'espace d'échange de marchandises commun?
Industrie aux commandes. Pragmatisme uniquement cela. Constat sans jugement de valeur.
2010-2020.
1900-1920 1800-1820
1_Il est bon de rappeller qu'avant de subir le meurtre de masse ou holocauste_ les populations juives immigrées (ou pas d'ailleurs) de notre pays ont eu avant de subir une mise à l'écart administrative légale durant l'occupation avant l'arrivée des troupes allemandes, les années précédant 39, donc nous dirons pour être plus précis 30-39, une sorte d'ostracisme qui ne disait pas son nom qui produisait une lutte constante de la part de cette partie de la population pour la préservation de ses droits, voire pour sa simple survie ! Certains arrivant à la veille de l'occupation dans un état de famine et dislocation morale totale, mendiant déjà pour assurer leur survie, d'autres mourrant d'absence de soin, de négligence etc etc.
Les ghettos s'étaient formés au cours des années trente dans toute l'Europe, les nazis n'eurent plus qu'à ramasser ceux que la misère avaient réunis et qui vivaient déjà sans le secours de qui que ce soit.
(ce qu'il est possible de constater en faisant le comparatif entre le traitement des affaires judiciaires de la population la moins favorisée financièrement selon sa confession religieuse et sa provenance nationale : archives de l'époque.)
Petite note en passant : l'histoire n'existe pas sans les archives car les gens sont des menteurs et ils ont tous des trucs à cacher ou bien ils ont peur que cela revienne en tout cas on peut rarement se fier à leurs témoignages...Eh oui mes amis, c'est triste de devoir instruire autant de gens (les universitaires) pour arriver à dégager un semblant de vérité mais il faut noter que de toute façon il est impossible de faire autrement et donc il faut faire travailler plein de gens pour arriver à éviter les mensonges et les contre-vérités en tous genres que le temps passé voudrait bien nous faire gober! (élites et couches populaires confondues).
Donc ces populations immigrées commençaient à subir la vindicte populaire née de la crise de 1929 (usa) 30-31 (europe).
Dans un documentaire ancien de Depardon si mon souvenir est exact une série sur la correctionnelle avait montré qu'un certain nombre de critères extérieurs aux infractions semblait être à l'origine d'un traitement différent entre les accusés. L'image étant souvent utilisée à des fins de propagande (d'un côté comme de l'autre d'ailleurs) il faut se méfier de ce genre de montage à qui l'on peut faire dire ce que l'on veut. ______zzzzzzzzz ("achtung propagande!)
Cependant et d'après mon expérience la violence du racisme et la volonté d'exclusion produites par certains groupes de personnes peuvent conduire à ce qu'effectivement les rouages de notre justice soient utilisés à des fins discriminatoires et portant atteinte aux droits fondamentaux des personnes tout comme à leur dignité.
(Certains se demandent encore ce que sont les droits fondamentaux d'une personne? Oui je sais. "Certains" sont définitivement mal pourvu en qualités humaines et auraient mieux fait de faire un autre boulot comme éleveur de porcs : ça ne demande pas trop de qualités humaines! "Certains" travaillent dans les services sociaux d'autres dans les hôpitaux, d'autres encore dans la police; et d'autres encore dans la justice et certains sont "nazes" comme c'est rarement permis d'être "nazes"! Parfois il vous arrive de croiser "certains" dans votre vie quotidienne et d'avoir envie de leur retourner une série de paires de baffes, je sais.)
On en est arrivé à un point tel dans cette société qu'il faut créer des départements entiers pour apprendre aux jeunes ce qu'est un rapport humain, le respect de la dignité des êtres humains etc etc etc Bref au moins me direz vous on leur apprend c'est déjà pas si mal. Ouais mais ça ne présage rien de très intéressant pour la suite. Ces cargos de jeunes veaux idiots me font peur tant leur bêtise leur inculture, leur bassesse et leur mesquinerie sont grandes. Rien ne leur est appris des valeurs qui ont fondés notre pays, non au contraire à ces veaux idiots on apprend à consommer "citoyen" (veux-tu me laisser rire un moment s'il te plait. Croyant même que le nombre fabrique de la vérité en se réunissant sur les réseaux sociaux "certains" arrivent encore à se donner de l'importance. Mais veux-tu me laisser rire à la fin c'est quand même franchement hilarant, la propension du populo à se donner de l'importance! Mais bon! Ce n'est pas parce que vous êtes dix millions à répéter en choeur les mêmes âneries que ces âneries ne finiront pas par être débusquée comme étant des âneries, (c'est d'ailleurs le lot de toute pensée ou expression populaire : la poubelle! Qu'on le déplore ou non d'ailleurs cela n'a aucune importance. Enfin bon bref on ne se lassera jamais des inénarrables saloperies que le marketing a réussi à faire entrer dans la tête de tout un chacun, le débile de base. J'ai toujours pensé que le marketing et la pensée qui en découlait devait planquer une grosse bande de nazis déguisés en "bien-pensants" mais avec le temps ça se précise assez bien. J'ai toujours pensé que lutter contre la diffusion de ces conneries de masses aurait été un grand bien pour l'humanité, tout comme obliger les publicités et les affiches à garder une taille humaine, tant par la fréquence de diffusion que par la taille et l'omniprésence de ces publicités, pour empêcher certains de se prendre pour Dieu. Genre se permettre de diffuser des "injonctions" à valeur d'ordre aux foules pour forcer l'acte d'achat mais pas uniquement. Ce qui s'appelle forcer le consentement : ce sont des techniques de psychologie qui ont été enseigné dans nos universités! (vous l'ignorez peut-être mais il me semble tout de même assez effarant que l'enseignement public ait pu servir à fabriquer des techniques de manipulation de masse sans que cela ait choqué qui que ce soit : bref!)
Et qui ont permis à un tas de minables escrocs de se mettre un tas d'oseille sous le coude (donc après avoir bénéficié de l'enseignement public financé par l'ensemble de la communauté donc les impôts ils sont tranquillement allés dans le privé appliquer ces techniques de manière à escroquer et tirer le maximum d'argent dans le commerce et la publicité : phénoménal) et cela sans que qui que ce soit ayant une tête pour penser et une bouche pour l'ouvrir ne s'y soit opposé. Bref! On peut être fier de nos élites et de nos intellectuels ça je peux vous l'assurer. Payé directement par les industriels pour faire du brainwash à grande échelle, le résultat n'aurait pas été meilleur!
Félicitation à tous et toutes de vous être tant et si bien élevés contre un pouvoir naissant, grandissant et aussi envahissant que celui-ci : bon travail!
Ce que je nomme parfois : "la barbarie à visage humain" nous apprend que personne n'est à l'abri de ces monstres sagement tapis dans les administrations Françaises. (ça c'est les chefs de "certains" : Eux confondent "êtres humains" et "animaux de foire" et sont assez irrécupérables. Peut-être pour fabriquer de la nourriture pour chiens et chats et encore je suis sûre qu'ils arriveraient à faire vomir les animaux même en boîte et hâchés).
Loin de moi l'idée de faire la relation directe entre deux époques qui ne se ressemblent en rien. Mais il me semble relativement utile de faire remarquer que les époques changent mais que la volonté de destruction reste la même, le racisme et l'ostracisme appliqués à certaines populations les mêmes, la volonté d'exclure et de détruire socialement toujours la même.
La violence populiste emprunte la même route à chaque fois. Exclusion. Destruction. Anéantissement. (et pour ce faire tous les moyens sont bons!)
Il est plus qu'utile de faire comprendre aux naïfs et aux idiots de notre époque que personne n'est paranoïaque face à ces problèmes précis!
D'autre part il est assez difficile de faire un état des lieux précis en la matière car les prémices sont par définition discrets et assez difficilement répérables même si sur le nombre on doit pouvoir établir qu'il s'agit là d'une volonté délibérée et appliquée en regard d'une stratégie décidée par avance.
Eh oui mes amis : "Après un certain nombre de faits se répétant de la même manière et pareillement on peut établir qu'il s'agit d'un même "modus opérandi" ou pour faire moins instruit "mode opératoire" (comme pour les tueurs en série) donc d'une stratégie (comme aux échecs aussi) appliquée de manière systématique et voulue donc décidée par des gens qu'il reste par ailleurs à identifier formellement, ce qui n'est pas une mince affaire, ça je vous le dis et vous l'assure, mais tout de même avec le flair de fins limiers dont certains disposent petit à petit et par recoupement on parvient finalement à identifier les "nbpifEKL X " et bon après ça va un peu mieux même si aller contre le sens de l'histoire en marche vous met un peu en risque d'attraper une pneumonie vu la température glaciale du courant d'air!
CQNSBPFD! "ce qui ne sera bientôt plus follement à démontrer! "
Marianne, un journal artistique et politique, paru de 1932 à 1940 Marianne, un magazine d'information hebdomadaire français créé par Jean-François Kahn en 1997
Vacances : terme employé sur ce" blog pour exprimer un désir de ciel bleu, voire de pépiements d'oiseaux sur un cerisier en fleur dans un jardin serein entouré de gazelles joyeuses et de lutins malins mais surtout gentils et adorables comme tout lutin qui se respecte.
vent dit écrit pensé que le bon peuple était naïf, ça m'a toujours étonné autant de mépris de classe diffusé à aussi grande échelle. En réalité le "bon peuple" est normal ce sont les élites qui sont perverses. Et les pouvoirs qui en sont issus sont encore pires à mon sens. Mais bon, je vais encore me faire traiter de gauchiste si je continue donc j'arrête. :)
In "note bizarroide", vrac, fourre-tout : à reprendre à l'occasion. Déméler l'écheveau de ses pensées. Les événements historiques et leur surgissement brutale dans le cours des vies. Nous sommes la semaine de commémoration des 10 ans de l'attentat des tours jumelles de New-York. Je ne me souviens pas avoir apprécié cette journée dix ans auparavant. Ni ce qui a suivit,
(les articles lus dans le Monde ou Libération, longs et qui décrivent les circonstances, les causes, les effets, voire les moyens employés pour remédier à ces problèmes de terrorisme. Les enlèvements de suspects. Les récits de la prison de Guantanamo. Les récits de ceux qui ont été enlevés et qui n'avaient rien à voir avec l'affaire. Les interventions militaires. Les tractations diplomatiques. La guerre d'Irak. Et plus récemment la mort du soi-disant coupable : le chef de la bande! Un morceau d'histoire écrit sous nos yeux auquel nous sommes tous assez heureux de ne pas avoir eu à participer de près ou de loin.)
ni encore aujourd'hui d'entendre ceux qui ont survécus raconter comment ils survivent encore avec milles ennuis de santé, respiratoires notamment dans une société américaine qui apparemment ne fait pas grand cas d'eux.
Je n'ai pas envie d'écrire d'analyse politique sur le sujet ni de formuler une opinion m'estimant parfaitement incapable de juger quoi que ce soit n'étant ni journaliste, ni politicienne, ni agent de services secrets, il m'est donc assez impossible de poser un jugement sur des faits éloignés de ma vie et n'ayant pas de rapport avec celle-ci. D'autre part je n'ai pas envie de le faire car j'estime et cela est la seule opinion que je puisse formuler, j'estime donc que n'ayant pas entre les mains des informations parfaitements véridiques et ayant été vérifiée par moi-même, je ne me risquerai pas à m'avancer sur des sujets où il m'est impossible d'avoir un avis éclairé et éclairant.
Si ce n'est avoir ressenti et pouvoir partager le sentiment d'échec lié à la mort d'innocents. La violence de l'événement en direct. Pas envie non plus de m'étaler sur le battage médiatique qui est né de cela. Ce sentiment d'impuissance face a l'événement auquel on est plus ou moins sommé d'assister et contre lequel on ne peut rien.
Si ce n'est prier pour des gens que l'on ne connait pas mais qui meurent devant vos yeux dans l'ahurissement provoqué par une catastrophe.